Déprime ?

Publié le par Bourriquette

Deux lettres écrites enfin à deux de mes patrons pour expliquer le pourquoi je ne suis pas allée bosser depuis un long moment. Deux lettres qui me disent que je n'arrive plus à me faire violence, symptome principal de ma déprime annuelle. Je vais donc prendre mon courage à deux mains et téléphoner à mon médecin, qui est aussi un de mes patrons chez qui je n'ai pas travaillé non plus cette semaine, et lui demander un nom de "docteur pour la tête".

Ma question saladier découlera donc de cette charmante idée.

Pour ou contre les anti-depresseur ?

 

Publié dans Questions saladier

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
C
Je vois que Môssieur s'est senti le besoin d'asseoir ses hautes assertions (je corrige: son verbiage) à grand renfort de bible du Docteur Bozo de l'automédication :  j'ai nommé le Vidal ("oui Simone, pas l'almanach Vermot, à côté là, oui le livre rouge c'est ça passe le moi j'ai un sacré mal de bide j'sais plus quoi faire") ! ...A l'évidence le mot "provocation" n'est pas ressorti de mon panier, encore moins le fait que je ne me prenais pas au sérieux. Espérons pour ce jeune garçon que seule sa tête soit champignonnesque. Mon cher Desproges, je m'en vais te rejoindre...ces gens là prennent vraiment tout au pied de la lettre sans plus savoir lire entre les lignes ni même vouloir relativiser. Me traîter de collaborateur sans scrupule de Ruquier...on aura tout vu....Je rends l'antenne..Il faut lâcher prise tu sais et en rire...  
Répondre
M
Avant de lire Nietzche, M. le patricien aurait sans doute été mieux inspiré de lire le titre de ce blog. Humeurs et déboires, ça me semble relativement explicite, surtout pour un homme de science. On n’est pas ici sur le forum du quotidien du médecin, on discute gentiment entre gens de bonne compagnie, on lance quelques vannes par ci par là en se foutant royalement de la définition clinique de la dépression ou des indications des ISRS. La demoiselle est pas bien et elle le dit. Jusqu’à preuve du contraire, cette page a été créée pour ça, ne t’en déplaise. Elle au moins n’est pas complètement hors sujet.Alors quand un Gérard Miller à la petite semaine s'en vient cracher à la gueule des plébéiens, balancer de minables attaques ad hominem sur le simplet de service, et donner les leçons de vie à ceux qui n’en demandent pas, on ne sait plus trop si on doit rire ou pleurer. Parce que lorsque je lis «[…] du « déprimant » (néologisme à la hauteur de la bassesse de ce faux débat) reste désespérément bloqué et braqué sur son propre nombril » (sic !) au milieu d’un monument d’autosatisfaction, je me marre franchement. En revanche quand un guignol qualifie Descartes de lourd et poussiéreux (re-sic ! voire verbatim pour se la péter un peu), là c’est moi qui commence à déprimer.Je te suggère donc de ranger Nietzche et de prendre un recueil de Jean Roucas ou de Guy Montagné, car il te faut de toute évidence une thérapie de choc pour découvrir l’humour et le second degré.Pour ce qui est, enfin, du faux débat, voir l’extrait suivant du Vidal de la santé psy :La dépression se soigne en jouant sur deux registres complémentaires : les médicaments antidépresseurs et la psychothérapie. Face à une dépression légère (ayant peu d'impact sur la vie quotidienne), un médecin généraliste recommande plutôt un soutien psychothérapeutique. Si l'épisode dépressif est plus gênant (dépression modérée), il prescrit un antidépresseur, et éventuellement une psychothérapie si le patient connaît des difficultés dans sa vie sociale. Une dépression sévère est traitée par des antidépresseurs, un soutien psychothérapeutique et éventuellement des médicaments neuroleptiques si la personne présente des troubles associés (hallucinations, idées délirantes).Après si Môssieur se sent plus qualifié que le corps médical pour se prononcer sur la question, qu’il le fasse, mais de préférence sans postillons. Je rappelle au passage que ces médocs s’obtiennent sur prescription médicale uniquement et que donc un professionnel de santé a pu juger en amont de la nécessité de leur consommation. Sans doute sont ils aussi complaisants que je peux l’être…Voilà, après avoir démontré, je pense, que s’adresser aux autres dans un langage ordurier et méprisant était à la portée du premier simplet venu, je lance un nouveau sondage :Pour ou contre l’utilisation d’une bonne paire de baffes dans le traitement de l’orgueil aigu ? J’imagine que vous avez une idée de ma réponse ! =)
Répondre
C
Chronique de la haine ordinaire numéro 1 : Comment générer un faux -débat sur www.j’aime la plèbe.com by Armelle? Nous rebalancer l'éternelle rengaine trop simpliste, malsaine et lancinante sur "la déprime". En dehors de symptômes cliniques avérés...et crois moi Armelle tu en es loin...ta déprime est un fourre tout sémantique qui tente d'ériger en précepte quasi-moral l'envie de ne rien faire et qui justifie par là-même, l’inhérente aptitude humaine à se reposer sur ses petites facilités du quotidien pour au final, attirer le regard de l'autre, capter sa sympathie, tendresse (pitié dans le cas le plus abject), se faire choyer et finir par croire et se convaincre que l'on a besoin d'amour alors que le regard du « déprimant » (néologisme à la hauteur de la bassesse de ce faux débat) reste désespérément bloqué et braqué sur son propre nombril. Cela ne se règle ni par un câlin, ni par un bottage-buttage de fesses...à moins encore une fois d'être simpliste...ou simplet. Cependant, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Cela se règle par la connaissance de soi. Ne pas confondre sautes d’humeurs et problème psy. Allez lire Nietzsche, je ne sais pas moi…vivez la vie au niveau un de la pensée car là c’est du niveau zéro que je vois. L'article aurait plutôt du s'appeler NON A LA COMPLAISANCE….et après on se demande si l’on est pour ou contre les antidépresseurs. Sic ! C’est du même ordre que pour ou contre le SIDA ? Pour quand les sondages ou les post commentant la météo ? Ce lourd et poussiéreux  Descartes s’était bien trompé lorsqu’il disait que « le bon sens est la chose du monde la mieux partagée ». Je t’embrasse Armelle, mais je ne fais que me répéter, car tu m’as déjà entendu tenir ce genre de propos et même faire pire. Je ne blâme personne, pas même toi…j’assassine juste (de ma part je ne sais plus si tu t’attends à autre chose). Ton Patrick Bateman d’extraterrestre aussi prétentieux qu’exécrable qui vient à Bordeaux en février.   J<br />  <br /> <br />  
Répondre
C
Ah !!! y'a des âmes sensibles ici... LOL
Répondre
M
Petite leçon de biologie. Le corps humain, malgré son étonnante complexité, ne produit d'endorphines (alias hormone du bonheur) que face à 3 stimulis principaux qui sont :1/ le sexe2/ la bouffe3/ le sportJe te propose donc mon ange de tout miser sur le point n° 1 !! =)
Répondre