Nos prochains...
Sortages de couple légèrement Bidochon que c'est pas bien quand on sort pas parce qu'après mon Raton Laveur y bave plus.
Je reprends : Nos prochaines ballades en amoureux.
Nan mais c'est vrai, moi, prendre l'air ça me rend coquine, j'y peux rien...
Donc... je vais énumérer ici les ballades "de quand y fra beau" prévues :
Hier, avec Poulpette, pour une raison inconnue (ou pas), nous sommes allées chez elle, enfin dans son humble masure campagnarde, au milieu du trou du cul du monde, sans l'odeur...
Après une heure de route en direction des Landes, j'ai découvert la campagne rangée (bah vi les forêts de pins, c'est pas ce qu'il y a de plus fouilli), que les graviers, ça fait du bruit (et accessoirement ça peut tuer un cycliste, suffit d'accélérer ou de freiner en le doublant, Niark !), que les villages, peu nombreux, sont bien mignons avec de belles barraques de mes rêves... (Chéri, y'en a plusieurs, c'est pas comme si il n'y en avait qu'une que je voulais absolument... là, tu as le choix, c'est bien ! sisi...), que les gens sont curieux, à non, ça c'était au retour.
Après une heure de route, les mains encore moites mais l'esprit moins encombré (je sais vous comprenez pas mais c'est normal), nous sommes arrivées devant La Maison, Le Terrain... Le truc Enorme qui leur sert de logement Weekendesque... l'endroit dont tout le monde rêve...! Pour des raisons logiques, je n'ai pas pris de photos de la maison en elle-même, et puis je suis un peu égoïste alors je vous merde, mais croyez moi sur parole, c'est grand, c'est beau, et c'est loin de tout, sauf d'un voisin qui muni de je ne sais quel instrument se pavane musicalement en jouant "à la claire fontaine" ou "mon ami pierrot"...
Première visite, le jardin : que dis-je, le champs (combien ? 5000m2 ?), avec ses endroits gazonneux, ses endroits arbolesques (merde ça c'est le langage Armellien espagnol... arbresques donc), ses endroits fleuris et même qu'il y avait des coquelicots que j'en ai jamais vus d'aussi gros et beaux et rouges ! Na ! Poulpette me présente son arbre, j'ai chotokeur, puis elle me présente sa soeur, enfin l'arbre qui a pour nom, celui de sa soeur, une histoire de famille. Hum. J'ai cherché à en savoir plus, j'ai su. A vous de voir si vous êtes assez curieux et téméraires pour poser la question au Poulpe !
Suite de la visite, la maison : et là, c'est le drame ! De grandes et imposantes pièces, une légère odeur de feu de cheminée, décoration qui laisse le passage de quelques générations, décoration chaleureuse, décoration pratique et moderne par endroits... une Poulpette qui veut me faire pleurer en me replongeant dans mon enfance. Elle me montre sa chambre, son lit de quand elle était bébé, ses jouets, les cartons bien rangés de toutes ses fringues tranche d'âge par tranche d'âge, je retrouve donc des jouets que j'ai moi aussi eus, puis après m'avoir replongée dans l'enfance saveur Corse pour ma part, elle ouvre une armoire pleine de passé à en dégueuler de vieilles chemises de nuit, celles de son arrière-grand-mère, de vieux draps... une vieille machine à coudre, non elle n'était pas dans l'armoire... bref, une famille qui a une histoire, un passé, des cartons pleins de vie comme moi je n'en ai jamais eus... suis Ja Lou Se !
Reviendues à la voiture, le but maintenant était de trouver des endroits sympas pour faire des photos à destinée bloguesque...
La Poupette m'amène donc au Château de Villandraut, maintenant en ruines... je me gare comme un gros cul, sauf que la voiture est petite, et oui, j'ai parfois du mal avec la perception de volumes (bleus aux hanches, voiture à mètres du mur), et on avance tranquillement vers les ruines qui sont immenses. Je pensait que c'était un petit truc mais non ! Quelques photos prises et voilà que nous arrivons dans la cours intérieure où la Guide nous dit que l'entrée est payante, que c'est une visite guidée d'une heure et demie... puis on discute avec elle pendant une heure car elle est bien sympatoche et nous avons des points communs, l'Education Nationale, le Pérou... motivées pour revenir visiter, on se dit qu'on traînera nos moitiés...
Le Poulpe pose deux questions existencielles dont l'une était : est-ce que je peux venir en tong ? La réponse était évidemment négative, mais que voulez vous, une Poulpette sans ses tongs est une Poulpette perdue.
Voilà donc une des prochaines ballades à venir futurement proche.
Ah j'oubliais... au retour, nous sommes passées par l'Eglise où Poulpette a été baptisée, et où ses parents se sont mariés. Séquence émotion toute cassée par les fameux curieux en questions qui se demandaient ce que je pouvais bien foutre à prendre des photos de leur église... !
Pour le reste, je fais une liste et je revieng !
Je reprends : Nos prochaines ballades en amoureux.
Nan mais c'est vrai, moi, prendre l'air ça me rend coquine, j'y peux rien...
Donc... je vais énumérer ici les ballades "de quand y fra beau" prévues :
Hier, avec Poulpette, pour une raison inconnue (ou pas), nous sommes allées chez elle, enfin dans son humble masure campagnarde, au milieu du trou du cul du monde, sans l'odeur...
Après une heure de route en direction des Landes, j'ai découvert la campagne rangée (bah vi les forêts de pins, c'est pas ce qu'il y a de plus fouilli), que les graviers, ça fait du bruit (et accessoirement ça peut tuer un cycliste, suffit d'accélérer ou de freiner en le doublant, Niark !), que les villages, peu nombreux, sont bien mignons avec de belles barraques de mes rêves... (Chéri, y'en a plusieurs, c'est pas comme si il n'y en avait qu'une que je voulais absolument... là, tu as le choix, c'est bien ! sisi...), que les gens sont curieux, à non, ça c'était au retour.
Après une heure de route, les mains encore moites mais l'esprit moins encombré (je sais vous comprenez pas mais c'est normal), nous sommes arrivées devant La Maison, Le Terrain... Le truc Enorme qui leur sert de logement Weekendesque... l'endroit dont tout le monde rêve...! Pour des raisons logiques, je n'ai pas pris de photos de la maison en elle-même, et puis je suis un peu égoïste alors je vous merde, mais croyez moi sur parole, c'est grand, c'est beau, et c'est loin de tout, sauf d'un voisin qui muni de je ne sais quel instrument se pavane musicalement en jouant "à la claire fontaine" ou "mon ami pierrot"...
Première visite, le jardin : que dis-je, le champs (combien ? 5000m2 ?), avec ses endroits gazonneux, ses endroits arbolesques (merde ça c'est le langage Armellien espagnol... arbresques donc), ses endroits fleuris et même qu'il y avait des coquelicots que j'en ai jamais vus d'aussi gros et beaux et rouges ! Na ! Poulpette me présente son arbre, j'ai chotokeur, puis elle me présente sa soeur, enfin l'arbre qui a pour nom, celui de sa soeur, une histoire de famille. Hum. J'ai cherché à en savoir plus, j'ai su. A vous de voir si vous êtes assez curieux et téméraires pour poser la question au Poulpe !
Suite de la visite, la maison : et là, c'est le drame ! De grandes et imposantes pièces, une légère odeur de feu de cheminée, décoration qui laisse le passage de quelques générations, décoration chaleureuse, décoration pratique et moderne par endroits... une Poulpette qui veut me faire pleurer en me replongeant dans mon enfance. Elle me montre sa chambre, son lit de quand elle était bébé, ses jouets, les cartons bien rangés de toutes ses fringues tranche d'âge par tranche d'âge, je retrouve donc des jouets que j'ai moi aussi eus, puis après m'avoir replongée dans l'enfance saveur Corse pour ma part, elle ouvre une armoire pleine de passé à en dégueuler de vieilles chemises de nuit, celles de son arrière-grand-mère, de vieux draps... une vieille machine à coudre, non elle n'était pas dans l'armoire... bref, une famille qui a une histoire, un passé, des cartons pleins de vie comme moi je n'en ai jamais eus... suis Ja Lou Se !
Reviendues à la voiture, le but maintenant était de trouver des endroits sympas pour faire des photos à destinée bloguesque...
La Poupette m'amène donc au Château de Villandraut, maintenant en ruines... je me gare comme un gros cul, sauf que la voiture est petite, et oui, j'ai parfois du mal avec la perception de volumes (bleus aux hanches, voiture à mètres du mur), et on avance tranquillement vers les ruines qui sont immenses. Je pensait que c'était un petit truc mais non ! Quelques photos prises et voilà que nous arrivons dans la cours intérieure où la Guide nous dit que l'entrée est payante, que c'est une visite guidée d'une heure et demie... puis on discute avec elle pendant une heure car elle est bien sympatoche et nous avons des points communs, l'Education Nationale, le Pérou... motivées pour revenir visiter, on se dit qu'on traînera nos moitiés...
Le Poulpe pose deux questions existencielles dont l'une était : est-ce que je peux venir en tong ? La réponse était évidemment négative, mais que voulez vous, une Poulpette sans ses tongs est une Poulpette perdue.
Voilà donc une des prochaines ballades à venir futurement proche.
Ah j'oubliais... au retour, nous sommes passées par l'Eglise où Poulpette a été baptisée, et où ses parents se sont mariés. Séquence émotion toute cassée par les fameux curieux en questions qui se demandaient ce que je pouvais bien foutre à prendre des photos de leur église... !
Pour le reste, je fais une liste et je revieng !